RETOURS DE LECTURES
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à propos de « Lettre à pépé Charles »
Laurence-Colette H.
« Il est des livres qui te suivent partout, ben voilà Pépé Charles me suit partout. J’adore ce livre… j’adore ton écriture, un vrai régal… J’ai fini de lire Lettre à… je l’ai adoré jusqu’au dernier mot… j’ai souri, j’ai eu des larmes… un livre magnifique, écrit avec douceur, du bonheur à chaque page, une jolie aventure. Merci Annette… pour le joli moment que m’a procuré Lettre à pépé Charles.
A propos de « retourne de là où tu viens »
Françoise H.
Je suis en train de lire votre livre. Au début ce n’était pas si évident et puis il commence à monter, comme une bonne sauce, au tiers, aux deux tiers. Un livre qu’il fallait écrire, je ne l’ai pas encore fini, mais je suis convaincue, passionnée même et en avançant, le début se justifie. Merci de l’avoir fait.
A propos de La Miraculée »
Framboise M.
Wouahh je suis scotchée à ton livre. Bravo ! Page 50… Terrible ta plume, j’adore, du coup j’ai envie de reprendre la mienne et m’y remettre… Gros bisous Annette tu es une vraie battante… Annette, je te fais des éloges, c’est tout simplement un bijou ton livre, tu te livres entièrement et je suis passionnée, s’il v a une suite, je te la réserves déjà…
A propos de « Un soir d’été en Sardaigne »
Hélène G.
Eh bien, je n'ai pas pleuré, mais je l'ai lu d'une traite… Evidemment il m’a plu. C’est un texte qu’on lit en oubliant de respirer…
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LU DANS LA PRESSE ET SUR LES BLOGS
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À propos de « Voulez-vous danser » :
Alain Trémiseau, éditeur, Biographe
C’est un livre qu’on lit, de préférence à petites doses.
Comme une valse tendre dont on prend le temps d’écouter chaque note, de savourer chaque pas. C’est une galerie de personnages à travers lesquels beaucoup sans doute se reconnaitront ou reconnaitront une connaissance, un souvenir.
Des personnages sans importance vivant un instant où tout se transforme. Des femmes un peu étrange comme « cette pianiste russe » (j’ai beaucoup aimé) qui n’est pas plus pianiste que moi. Mais je n’en dirai pas davantage.
Ce sont des femmes se risquant sur une piste de danse comme on se risque dans la vie. Sans trop savoir où elle vous mènera. Mais quelle importance puisqu’avec une jambe raide, un désir d’impossible chevillé, ou en suivant une voix aigüe surgie de nulle part, nous avançons quand même au fil du destin qui nous appartient ».
Quelques extraits de la Chronique de Éric Vernassière :
« Amie Lectrice et Ami Lecteur, quand Annette publie un nouvel opus qui nous invite à danser, nous ne pouvons faire autrement que de partir en quadrilles avec elle, surtout en ces moments rudes vécus, où les liens sociaux sont réduits aux acquêts »…..
« Cet opus, très délicatement introduit par son amie Christine, qui entremêle souvenirs communs et appréciation de plaisirs partagés, se lit avec un vrai bonheur, car il est écrit en une langue recherchée, stylisée, et il affecte tous les domaines littéraires, de la nouvelle à la poésie, du conte onirique à la déclamation de moments d’humeur »…..
« Je viens de le lire par deux fois consécutives, pour en humer les saveurs, je vous incite à suivre mes pas, à vous placer dans le sillage de personnages qui, d’indépendance de récits, se re-croisent en des aventures communes, pour prolonger leurs tensions et désirs, pour ainsi offrir au lecteur une vraie tonicité plurielle qui juxtapose tous les moments qu’il a vécus, au détour des mots, des réflexions, des passions que sait puiser Annette, en récurrence »….
« Si par instants directs et précis, le livre d’Annette rappelle que sa mise en écriture n’allait pas de soi, qu’il lui fallait combattre et s’aguerrir, qu’elle a souvent vécu des espaces sensoriels qui la mettaient en contrainte sur sa confiance en elle, le lecteur sait qu’elle va toujours de l’avant, qu’elle sait nous tenir en haleine, qu’elle aime raconter des histoires, qu’elle définit l’émotion avec un talent inspiré......
« Très belle touche amicale et sensible que cette rencontre entre une Mamie et une jeune fille, en proie aux douleurs intérieures de spleens ravageurs, et qui, par le contact charnel avec des pommes de couleurs différentes, vendues par la Mamie marchande, dont elle sait conter les différences et les atouts, redonnera espoir à la jeune fille, pour que sa vie se pare de chatoiements et d’espoirs. Toute l’intensité de cette nouvelle, son écriture déployée, me ravissent et m’ont empli de larmes, de force et de nécessité d’optimisme résolu, envers et contre tout »...
Pour lire l’intégralité de la chronique d’Éric qui nous ouvre, Nouvelle après Nouvelle, la porte des destins multiples et assumés des héroïnes.
https://debredinages.wordpress.com/2021/03/30/voulez-vous-danser-annette-lellouche/
Chronique de L’Écritoire des Muses :
Un titre séduisant
Voulez-vous danser ? : Un point d’interrogation dans un titre ! Ce n’est pas commun. Un clin d’œil de la narratrice invitant le lecteur à danser, à être emporté dans son univers tout à la fois fictif et réel, dans le tourbillon émouvant et parfois tragique de la vie dont « les années passent vite et (dont) chaque jour compte ».
Trouver le chemin du bonheur
Chaque nouvelle du recueil éponyme d’Annette Lellouche « Voulez-vous danser ? » narre des moments de vie de femmes simples, toutes uniques, individualisées par leur prénom, leur personnalité, se heurtant à des difficultés, à des peines, à des drames comme Jeanne plongée dans la solitude et la tristesse « depuis qu’un accident de la vie l’a laissée seule avec son désespoir ». Mais malgré les heurts de l’existence, ces femmes continuent de rêver, d’espérer, secondant même le destin par d’anodines astuces afin de trouver le bonheur … Francine, dans « Au bal des raies », tente de gagner un concours… Prendre sa vie en main, en changer le cours, voyager comme Eliette et Robert, « voyageurs infatigables dans « Embarquement immédiat » infatigables » dans « Embarquement immédiat », découvrir d’autres contrées, ne pas rester seule, rencontrer des gens… Oser aller à la rencontre de l’Autre comme Emilie invitant l’homme assis qui lui sourit lors d’une soirée dansante (« Emilie tend sa main gantée, dans une invite sans équivoque »), découvrir un nouvel amour, retrouver l’amitié, entrer en résilience comme Jeanne, retrouver ses enfants, ses petits enfants après de longues années perdues.
Aucune des femmes de l’ouvrage d’Annette Lellouche ne s’engluent dans un quotidien morose et taciturne. Malgré les difficultés, parfois très pesantes, inhérentes à la vie, elles conservent une vision positive, font face aux obstacles avec lucidité et les surmontent …
L’art du portrait
Entrant dans l’espace intime de ses personnages principaux et secondaires, Annette Lellouche trousse des portraits physiques tendres comme celui de la marchande, vieille femme, poupée de vitrine, miniature émouvante… Elle brosse des portraits moraux dotés de toute une profondeur psychologique. Des confidences, des flux de conscience rapportés au style indirect libre, en focalisation interne, révèlent des êtres sensibles, d’une grande richesse intérieure…
Un rythme dansant
Malgré quelques doutes quant à sa capacité de raconter des histoires (« Vais-je être à la hauteur, vais-je savoir, vont-ils comprendre ? »), l’écrivaine emplie d’humilité est emportée par le ballet de sa verve littéraire et créatrice… Avec une écriture soignée, Annette Lellouche joue avec les mots et les sons, doux clins d’œil humoristiques… Des accumulations verbales, adjectivales, des rimes rythment ses récits, embarquant le lecteur dans des danses joyeuses, ludiques, poétiques… Les échos phoniques concrétisent des pas de danse, donnant tout un tempo, une musicalité aux récits, aux nouvelles, parfois séparées par des poèmes versifiés.
Dans ces nouvelles aux chutes, véritables petits coups de théâtre narratifs précipitant le lecteur dans d’émouvantes révélations, des liens se tissent, des femmes se croisent, sœurs de cœur de la narratrice, femme sensible, amoureuse des mots (« partager ses émotions, faire passer sa motivation, son amour des mots »), désireuse de transmettre sa joie de vivre, de créer et la beauté résidant en elle.
Pour lire l’intégralité de la chronique de Annie Muse :
De Francis Ponsonnaille
COMPTE RENDU DE LECTURE " ENTREZ DANS LA DANSE "
réédité et augmenté de quelques poésies sous le titre de « Voulez-vous Danser ? »
PAR ANNETTE LELLOUCHE UNE PASSEUSE DE RÊVES. POUR MOI, CLAIREMENT SON LIVRE LE PLUS PASSIONNANT.
C'est toujours mieux la première fois...
Avoir tardivement changé de vie pour découvrir et se découvrir une nouvelle vraie raison de vivre constitue au fond un vrai cadeau du ciel quand bien-même la volonté personnelle y contribuerait fortement.
D'abord un aveu : depuis mon adolescence, le Spleen de Paris de Baudelaire est un de mes livres de chevet, j'adore cette succession de petites histoires poignantes, le génie en moins j'apprécie aussi Alphonse Daudet et ses Lettres de mon moulin, il reste toujours des leçons à tirer de cette succession d'aventures humaines.
Chacune des histoires racontées par Annette dégage une leçon de vie, on songe à La Fontaine, un clin d'œil lui est fait dans le livre, suivi joyeusement par bien d'autres…
L'irruption de notre amie Annette dans un univers faisant à son échelle bien sûr une synthèse des trois modes d'expression que je viens d'énoncer portés par trois grands noms, Baudelaire, La Fontaine surtout, Daudet nettement en retrait, pouvait sembler à priori " culturel " , lourdement symbolique, bien trop risqué pour tout dire.
Eh bien non pas du tout, ce livre coup de poing et coup de cœur est le plus captivant qu'elle ait " réalisé ", je me rends compte que j'use d'un mot qui évoque fortement le cinéma…
J'ai lu ce livre presque d'un seul jet, il est rare de voir une auteure qui sans le savoir voici 11 ans nous livrait des clés essentielles pour affronter les mauvais temps dans lesquels nous rentrons. L'époque que nous vivons entérine bien malgré nous mais il arrive que le Bien émerge du Mal la nécessité d'artistes peu importe leur spécialité qui nous parlent d'espoir.
La lecture terminée, on a la volonté têtue de croire encore en quelque chose, tout cela fait du bien et même plus que cela.
Annette c'est la certitude que le bonheur sera toujours possible.
Pour lire l’intégralité de la chronique : https://www.facebook.com/francis.ponsonnaille/posts/3234804449954443
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À propos de « A l'assaut du bonheur » :
"Chers amis, il y a quelques jours, j'ai reçu un des livres écrits par Annette Lellouche , une personne admirable, que j'ai rencontrée sur LinkedIn et ensuite sur d'autres réseaux sociaux. Des fragments publiés, que j'ai eu la possibilité de lire sur des sites, j'ai tiré une conclusion claire: Annette a un style attractif, un vocabulaire vaste et l'optimisme qui ressort de partout ne fait que rajouter de la plus-value à sa création littéraire. Plein de ses récits on les racines dans la vraie vie. Je n'ai pas encore fini "À l'assaut du bonheur", mais je pense de plus en plus qu'il faudrait lire tous ses romans.
Elle est aussi peintresse et sa finesse à côté de son grand cœur font d'elle une personne formidable.
Vous pouvez la retrouver sur : http://a5editions.fr ou via son blog http://ninanet.vip-blog.com
Je vous félicite, Annette, et je vous remercie pour votre amitié !
Chaleureusement "
Anica de Roumanie
« Je viens de terminer « À l’assaut… » Je trouve que tu décris très, très, bien le caractère, le ressenti de Julien (ses doutes, ses souffrances, ses peurs mais aussi ses joies). Enfin là ils sont 2, Julien et Matéo. Cela devrait avoir un beau succès dans ce milieu. Vraiment ! Car il y a peu d’ouvrages sur ce sujet brûlant. J’ai bien aimé aussi la peinture du caractère d’Elsa, fusion mère et fils. »
Nicole S.
"Dans son ouvrage, A l’assaut du bonheur, Annette Lellouche s’intéresse avec empathie et délicatesse à des vies individuelles, à des histoires de familles soulevant des problèmes existentiels : l’amour, le couple, le bonheur, l’homosexualité, le regard de l’Autre …, plongeant le lecteur dans le quotidien et la réalité. Annette Lellouche : une écrivaine, loin des clichés et des préjugés hantant certains esprits, essaie de comprendre des situations pas toujours évidentes à vivre à travers l’histoire de ses différents personnages. Matéo, Julien et les autres…… Dans un roman polyphonique et réaliste, rythmé par les paroles des chansons d’Aznavour et d’Edith Piaf, Annette Lellouche pose des questions ontologiques sur l’Homme, sur sa liberté de vivre comme il l’entend, sur l’aspiration au bonheur….. Sa fiction ancrée dans le monde réel, dans la France de 2019 avec ses gilets jaunes sur les ronds points, dans les pays comme Israël qui « ont aboli la loi contre les gays », révèle une sociologue et une psychologue….. Sans prétention, avec générosité, l’écrivaine donne une leçon de vie au lecteur dans un ouvrage à la lecture plaisante". Pour lire l’intégralité de la chronique : A l'assaut du bonheur : L'écritoire des muses
Blogueuse Annie Forest
"Le dernier roman de mon amie Annette Lellouche se place comme un hymne consacré à la compréhension de l’autre, à l’acceptation des différences, à la recherche partagée des meilleurs accomplissements, et en ce sens il s’affiche avec une volonté optimiste, pour conquérir, comme son titre le manifeste, l’accès à un bonheur qui se niche, certes, dans des interstices difficiles à repérer, que l’on nie parfois à vouloir atteindre….. L’auteure sait célébrer la force de l’amitié, la vraie, celle qui n’oublie pas l’amie ou l’ami en contrainte ou en détresse, qui réfutera tout procès d’intention et qui appuiera, parfois nécessairement en critiquant et enjoignant l’introspection nécessaire, pour lui assurer d’avancer, lui tendre la main, lui faire du bien…. Ce livre fait du bien car il appuie et renforce toutes les ouvertures, tous les ponts et met en retrait tous les murs et toutes les pesanteurs ; ce livre apporte de la fougue car il donne des arguments pour interroger l’autre, le cerner par delà nos propres visions et perceptions et il préfère toujours l’écoute et le partage que le péremptoire du principe édicté ; ce livre enchevêtre des personnages entiers, avec leurs limites et leurs fêlures, mais qui restent toujours attachants, avec leurs limites, ce qui ne peut procurer que de la joie pour celles et ceux qui ont l’habitude de plus donner que de recevoir, et qui quand ils sont mis en tension ne seront jamais épargnés…… » . Pour lire l’intégralité de la chronique : https://debredinages.wordpress.com/2020/01/07/a-lassaut-du-bonheur-dannette-lellouche/
Blogueur Éric Vernassière
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À propos de « La Miraculée » :
Sylvie Grignon :
"Quel plaisir de recevoir un livre dédicacé d’Annette dont j’aime beaucoup l’écriture. Ce roman est bien plus que cela, un vrai petit bijou. Cette fois, ce n’est pas un roman, mais le combat qu’a dû vivre Annette après son accident, cette descente aux enfers, ce plongeon dans le milieu hospitalier, et cette force pour s’en sortir toujours vivante de l’intérieur. J’ai vraiment ressenti chaque mot au fond de mon être, ayant vécu non un accident mais la découverte d’une maladie auto-immune incurable. Un livre qui se lit, mais surtout qui parle. Un livre qui laisse après avoir fermé la dernière page un sentiment de plénitude, d’espoir, de vie ».
Nicole Alauzet :
« : COUCOU Annette, j'en suis à la page 138 (hélas car je voudrais pouvoir lire un peu de TA vie tous les matins pour me donner du KKKouRRRaj pour la journée....Je réalise que lorsque tu TAPAIS ma biographie, tu "souffrais" et pas qu'un peu ! Je trouve ton récit vivant réel on croit "voir" un FILM....OUAIS ! Ton livre est TROP COURT , j'aurais voulu qu'il continue encore et encore car il me donnait la PECHE... C'est du vécu , du VRAI mais DROLE alors j'aime , voir la vie comme ça c'est SUPER , j'espère que cela va remonter le moral à plein de gens et leur permettre de supprimer des cachets anti dépressifs……/
Annie Nègre :
« j'ai bien aimé votre livre. Il peut apporter beaucoup à ceux qui souffrent et dépendent du monde médical. Vous décrivez toutes les stades de doute, de souffrances physiques et morales que vous avez surmontés. Lorsque nous sommes bien portant on ne s'imagine pas combien il est difficile d'accepter sa dépendance . Vous avez eu le courage de vous battre. L'amour de votre mari et l'amitié vous ont poussée à vous prendre en main dans les moments de doute et de découragement. Cela est très précieux. c'est un enseignement de votre livre. Les lecteurs appartenant au corps médical peuvent aussi après avoir lu votre témoignage mieux comprendre leurs patients en détresse .Votre exemple peut redonner du courage à ceux qui doutent.
Dans La Miraculée, Annette Lellouche n’est plus dans le pur littéraire comme dans ses précédents ouvrages. Le fait vécu a été tellement terrible, insupportable (« (…) je n’ai jamais eu aussi mal de toute ma vie. Tout mon corps gémit, brisé »), la rééducation tellement difficile, éprouvante, que l’ouvrage ne doit pas être dans l’ordre de l’esthétique… La narratrice n’est plus engluée dans la douleur. Le recul s’impose dans un ouvrage, leçon de vie et de courage. Il faut toujours garder confiance, se battre pour sortir des ornières que l’existence ouvre parfois sous nos pas et déguster les éclats de bonheur qu’elle nous offre. L’optimisme de la battante qu’est Annette Lellouche triomphe comme elle-même a triomphé de son accident. »
http://lecritoiredesmuses.hautetfort.com/archive/2018/01/14/la-miraculee-6017492.html
Blogueur Éric Vernassière :
« Lisez ce livre formidable, tranche de vécu, direct, incisif, plein, entier et toute à la volonté de donner élan et inspiration pour avancer, progresser et comme disent les sportifs, « ne jamais rien lâcher ! ».
https://debredinages.wordpress.com/2018/01/02/la-miraculee-par-annette-lellouche/
Alain Trémiseau :
Au-delà d'une présence, au-delà d'un prix, la plus belle des reconnaissances reste celle des lecteurs. A ce titre, j'ai envie de souligner le plaisir que j'ai éprouvé en lisant ce récit de vie. D'une vie où le hasard (mais est-ce bien le hasard?) glisse un piège au sommet d'un escalier. Pas difficile d'imaginer la suite ! Et pourtant, si ! C'est le récit, comme l'écrit Annette Lellouche, "écrit avec beaucoup d'humour, d'une remontée vers l'indépendance physique, vers une vie simplement normale, vers un nouveau plaisir de vivre. Sans doute un "livre-émulation" dont beaucoup s'inspireront en le découvrant sous le sapin mais aussi sur les étals et dans les nombreux salons du livre auxquels participe son auteur.
Sylvie Magras :
Un récit bouleversant qui nous livre avec justesse l'histoire d'un combat permanent, un combat de longue haleine après un accident domestique, une chute dans un escalier aux lourdes conséquences qui entraînera une atteinte traumatique…
Elle apprendra qu’elle devra surmonter un bras en miettes, des côtes touchées et des hémorragies. Le temps et la volonté seront nécessaires pour surmonter un tel traumatisme, le temps de se reconstruire physiquement et moralement… Ce livre, je l’ai pris comme une claque dans la figure, comme un retour en arrière sur la maladie de ma fille… C’est un témoignage qui ne peut que toucher et même si l’on ne peut ressentir les blessures, on les comprend à travers les mots d’Annette Lellouche, ses mots et ses maux si magistralement retranscrits.
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De Jacques Brachet sur evasionmag.com
Annette LELLOUCHE : La clé de l’embrouille (a5éditions)"Annette Lellouche nous a habitués à des romans qui naviguent entre suspense et humour. Pour ce nouvel opus, elle a un peu mis de côté l’humour pour mieux s’aventurer dans une histoire assez rocambolesque mais qui va nous tenir en haleine jusqu’à la dernière page... "C’est une histoire très compliquée qui, à chaque chapitre rebondit pour mieux nous surprendre en apprenant un nouveau fait, un nouveau mystère. Ca n’est pas pour rien que ce roman s’appelle « La clé de l’embrouille » et Annette Lellouche sait à merveille nous embrouiller...
... L’on sent qu’elle jouit de ces situations qui sortent de son imagination plus que fertile, dans un style très fluide car elle a un belle plume, et sait s’en servir pour… nous embrouiller à souhait !
Dur dur de quitter ce roman avant la fin...
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"Sept auteurs varois à lire avant la fin des vacances"
page Magazine, mardi 4 aout 2015
"...Amours, humour et suspense seront la dé de l'énigme de cette histoire partiellement vraie.
D'une intrigue entre ces trois personnages, "sorte de polar psychologique" est né le roman La clé de l'embrouille septième ouvrage d'Annette Lellouche, jeune retraitée du monde des affaires parisien,installée à Saint-Raphaël où elle a créé sa propre maison d'édition."
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3 plumes attribuées à "La clé de l'embrouille"
par Éric Vernassière auteur et chroniqueur
littéraire "les 8Plumes" de l'Express
"Annette, pour son septième opus, s’est essayée au roman policier, au roman noir, au polar, et le résultat s’affiche avec forts honneurs avec une constance d’écriture méritoire dans le déroulement de l’intrigue, la présence de personnages attachants, inquiétants, complexes, nécessaires en ce genre où le fait de ne pas tout cerner ménage le suspense et en glissant des messages sociétaux bien sentis, implorant un refus de l’incommunicabilité mais aussi la volonté de compassion ou de concorde, thèmes de prédilection de l’auteure toujours à la recherche de la transmission bienfaisante, sans jugement, comme de la prise de hauteur...
En lisant Annette, en ce livre différent et très personnel, je me suis invité à une introspection sur les histoires de vie de ses personnages, ce que l’on appelle le story telling aux USA, et que l’on retrouve avec méthode et attachement dans toutes les séries bien ficelés allant de Castle à Boomtown où l’histoire policière ne s’arrête pas à des faits difficiles mais s’emboîte bien avec les fêlures des protagonistes...
Et j’ai surtout eu grand plaisir à lire un livre documenté, bien agencé, délicieusement optimiste malgré les rebonds ambiants pas toujours reluisants et qui m’invite grandement à l’inspiration…"
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L'écritoire des muses sur "La clé de l'embrouille".
La morale, les valeurs, le bonheur finissent par triompher comme toujours chez Annette Lellouche. L’existence, malgré ses difficultés toujours surmontables et surmontées, est belle et mérite d’être vécue. L’espoir et la Vie dominent concrétisée par la naissance d’Aimée au prénom symbolique
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“La clé de l'embrouille” par livrogne.com
Annette Lellouche fait ici un virage à 180° en approchant de nouveaux horizons littéraires, ceux de l’intrigue policière, du thriller psychologique. Il faut oser abandonner, fût-ce quelque temps, son chemin d’écriture familier pour aborder d’une plume mouillée de suspense un nouvel envol qui désarçonne et s’écarte du fil conducteur, de douceur et de sensibilité auquel l’auteur nous avait habitués.
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“Charles et Aurélien” par livrogne.com
Ravie de découvrir enfin ce troisième opus, habillé d’une magnifique couverture – ma préférée des trois volets – donnant déjà au lecteur un avant-goût du contenu... Un chat sur un banc au pied d’un chêne majestueux et en arrière plan une belle bâtisse provençale en pleine nature.
On sent immédiatement les arômes qui exhalent de cette suite tant attendue, mélange de lavande et de garrigue. Et dès les premières pages, on retrouve ici, à l’instar des deux premiers volets, on se laisse porter dans une farandole d’amour et d’émotion.
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L'écritoire des muses
Annette Lellouche chante un cadre provençal esthétique
(« Sans parler des tableaux où se prélassaient des champs de lavande au mauve complètement délavé par le soleil qui y avait lézardé, aux taches rouge sang des coquelicots qui déferlaient des collines ».), la vie de gens humbles, généreux, attachants, les plaisirs simples et joyeux comme un pique nique, « réplique vivante du ‘déjeuner sur l’herbe’ de Monet ». Elle révèle son amour des animaux et sa connivence avec la nature : « Un petit lézard des murailles, surpris, se dépêcha de ramper avec agilité sur le mur de la façade. D’un beau gris vert, à la face ventrale jaune pâle et à la gorge mouchetée de noir, il se déplaçait par ondulation à l’aide de ses pattes, de son abdomen et de sa queue (…) ».
Comme toujours, les ouvrages d’Annette Lellouche sont un hymne à la Vie
et à la générosité humaine. Il est important, dans un monde où la haine s’insinue, de constater qu’il existe encore des êtres qui font confiance à l’humaine condition.
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